
Malgré quelques rappels les dépôts d’encombrants se poursuivent dans le local poubelles…. Mais peu à peu du désordre qui s’installe finit par émerger un certain sens esthétique.
Saisir un moment, une lumière, une atmosphère, et tenter de les rendre : "Photographier, ce n’est pas regarder, c’est ressentir" (Don McCullin)

Malgré quelques rappels les dépôts d’encombrants se poursuivent dans le local poubelles…. Mais peu à peu du désordre qui s’installe finit par émerger un certain sens esthétique.

Quelques vues du cloître de Saint Trophine, un des plus beaux de France m’a-t-on dit, c’est probable : Moissac, Le Mont Saint Michel, Fontfroide, Fontenay… dans un autre genre (une partie reconstruite) Saint Michel de Cuxa, et quelques autres… Mais Saint Trophime est certainement dans les tout premiers.





LA photo restera celle de Baldus, (suivre le lien – milieu de la page, en anglais) 1851, la mission héliographique de Mérimée, selon les auteurs Baldus prit entre six et dix clichés, qu’il découpa et assembla pour proposer une photographie en son temps irréalisable.

Antibes, … la Fondation Hartung – Bergman, la maison du couple d’artistes, quelques unes de leurs œuvres, et l’Atelier de Hans Hartung, encore débordant de son énergie.
Hartung (1904 – 1989) nait en Allemagne, opposant au nazisme il s’exile en France, puis s’engage (deux fois) dans la légion étrangère, participe aux combats comme brancardier, blessé il sera amputé d’une jambe. Marié (deux fois) avec Anna-Eva Bergman (norvégienne, 1909 – 1987), ils dessineront les plans de leur maison – atelier construite dans un champ d’oliviers à Antibes : une merveille ! (mais une partie était en travaux….).






On peut y voir quelques œuvres, peu, ce n’est pas un musée, mais assez pour retrouver le plaisir d’entrer dans des univers d’artistes différents.





Bergman
et Hartung






Et l’atelier de Hartung, un condensé d’énergie.




Il avait ses propres outils pour peindre, les faisait faire, les faisait à sa main, parmi lesquels des branches d’oliviers.

Deux articles antérieurs : L’un sur une exposition d’œuvres de Anna-Eva Bergman (à Caen) l’autre à Paris, des œuvres de Hans Hartung (en bas de page)

Réveillé tôt je suis parti au bord de la mer chercher un peu de fraîcheur, par chance le soleil avait eu la même idée.





Un week-end de beaux bateaux, de ballades le long des quais, d’animations multiples.
Quelques photos prises le long des quais, le vendredi et le dimanche.



Préparatifs sur le Belem et le Morgenster, on pense à ce que cela doit être quand la mer secoue le bateau !





Départ, l’occasion d’admirer quelques voilures…. Lorsque le Belem large les amarres et commence à s’éloigner du quai, les spectateurs sont saisis par une émotion partagée, ils applaudissent.
J’ai trouvé que l’Ami Pierre avait fière allure.






Le Chœur et Orchestre Universitaire Régional de Caen Normandie, à Bayeux, en la Cathédrale Notre Dame pour un concert : Œuvre principale le « Requiem pour les vivants » de Dan Forrest (américain – né en 1978). Répétition et concert ont attiré les visiteurs d’abord, qui restaient écouter la répétition, puis le concert, il fallut rajouter des chaises, pour finir sur une « standing ovation ». Superbe concert, dans une superbe cathédrale !










Extrait du programme (un peu modifié)
Dans le cadre des 80 ans de l’Armistice, Camille Dominique et Marine Collet, les cheffes d’orchestre à cordes et de chœur, ont rassemblé en partie les trois ensembles du COUR pour ce projet en symphonique et chœur. Les élèves des classes de musique des lycées Malherbe et Sainte Marie se sont joints au chœur pour une œuvre grandiose avec quarante musiciens et quatre-vingt choristes !

Le 9 mai Caen célébrait son millénaire. Grande parade opératique qui traverse la ville, je suis passé du côté de l’université ou 350 choristes (et l’harmonie de l’orchestre du COUR) accompagnaient la traversée d’un géant d’osier. Beau géant, beau moment, beaucoup de monde !









Voilà, c’est le printemps, et dans ma clairière préférée les merisiers fleurissent, j’espère qu’ils tiendront quelque temps, par les temps qui courent la luminosité de leurs fleurs est bien nécessaire….
On peut écouter ça :https://www.youtube.com/watch?v=9bD3humWnCs&list=RD9bD3humWnCs&start_radio=1








Un tour sur la presqu’île pour voir l’avancée des travaux, le paysage a change, se « civilise ». Travaux – brume – pluie… et des tentes au bord de l’eau. On n’ose imaginer ce que c’est que de dormir sous la tente près de l’Orne qui a atteint des niveaux élevés cet hiver, le froid assez sévère par moment, l’humidité permanente….







Des travaux sur la Presqu’île, les prévisions sur la possible montée des eaux modifient les projets d’urbanisme, en attendant, en prévision du millénaire les aménagements continuent. Les travaux mettent en valeurs les structures des bâtiments qui avaient abrités quelques unes des activités liées au port de Caen. Les hangars sont photogéniques, particulièrement l’un d’eux, à trois travées, qui prend des allures de basilique de la Rome antique. Certains hangars servent d’abris, calfeutrés avec les moyens du bord.
Quelques photos :
Le Gel




Le brouillard




